L'Erod

Ouai je sais mais c'été juste histoire de faire une petite critique.

je prends toutes les critiques, ça fais avancer, moi aussi je trouvais que ça faisait aussi un peu exagéré, mais je savais pas si je laissais comme ou pas, pourtant je laisse, on verra...

je me posais une question, avec beaucoup de corrections et modifications, mon histoire serai t'elle éventuellement éditable ?

enfin je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir, il n'y a pas encore assez de texte, et puis je me laisse quelques années pour l'écrire.

Sérieusement je ne sais pas si c'est éditable. Les editeurs reçoivents des milliers de manuscrit donc faut être le meilleures. Peut etre une fois fini si tu retouche quelques truc tu pourra avoir éventuellement ta chance mais y a encore du travail. Mais comme tu le dit tu as le temps.

Oui je suis bien consciente que les éditeurs doivent avoir beaucoup de demandes...Je verrai où j'en suis dans 3 ans, il faut avoir des rêves pour avancer dans la vie.......

Je suis d'accord avec toi et je pense exactement la même chose. De plus avec du travail et de la volonté on arrive à tous.

j'ai refait le dernier passage...Malgré tout il ne me plait pas, je le relirai dans quelques jours et les modifs viendront toutes seules, en attendant ça donne ça...

La matinée touchait à sa fin et la pluie tombait maintenant fine sur la campagne. Un arc-en-ciel se dessina tandis que Mao portant l’enfant dans ses bras sortait de l’écurie. Il traversa la place et la fillette se réveilla, elle ouvrit les yeux et planta son regard dans ceux de Mao.
-Qu’il en soit ainsi. Murmura t’il.

Les années passèrent, Maïwen grandie aux côté de Nolwenn et Mao dans la grande bâtisse qui surplombait le prés derrière les écuries. Bien vite elle affirma un caractère très indépendant et téméraire. toute petite elle partait seule voir les chevaux sauvages, mais on la rattrapait bien vite de peur que ces derniers ne l’écrase. Mao lassé de la surveiller toutes les secondes entreprit alors de lui apprendre à monter, et à 6 ans elle montait aussi bien que lui. « Cette fille est née sur un cheval » avait dit Corentin. A 8 ans elle partait faire le tour des terres toute seule, la même année elle assista à la naissance d’un poulain dont la mère mourut aussitôt, elle le prit immédiatement sous sa protection et le nomma Néolen, ils ne se quittèrent plus. A 10 ans alors que les autres enfants de son âge jouaient à construire des cabanes dans la forêt, elle passait la journée sur Néolen, déjà on la voyait de moins en moins souvent. Ainsi se suivaient les années et leurs rituels quotidien. Maïwen grandissait dans cet univers idyllique, et sa passion pour les chevaux grandissait chaque jour d’avantage. Hélas, la vie est semblable à un océan, tantôt il apparaît calme mais il ne faut pas s’y fier. Un océan qui reste paisible trop longtemps est mauvais signe, il se réveillera alors quand personne ne s’y attendra, grondant et imposant, la tempête sera terrible avant qu’il ne redevienne calme et ce ne sera qu’une question de temps avant le prochain orage. Mais pour l’instant au petit village les gens avaient d’autres soucis. Mao en tant que « chef » du village, avait organisé une réunion à laquelle tous les habitants devrait répondre. Une décision importante allait devoir être prise.

Rien de nouveau en ce moment, je suis plongée dans le SDA.

Lire tolkien ça donne des idées, mais ça démoralise aussi, parce que je trouve que j'écris trés mal à côté de lui et que je n'arriverai jamais à faire un bon livre.

En même temps c'est normal, c'est Tolkien

Te fait pas de souci tu écrit trés bien. Ensuite je pense que si tu écrivais comme tolkien on aurait plus la chance de t'avoir sur ce forum.

Pourquoi donc ?

j'ai bientôt fini le tome 1, ça ne se lis pas vite car il y a beaucoup de détails et c'est tant mieux car comme ça ils me dureront plus longtemps.

Et si notre monde n'avait pas toujours été tel que nous le raconte l'histoire...? Les véritables histoires sont depuis longtemps oubliées. Seuls les hommes vivent encore au pays bleu. Et la porte de la lune est fermée, enfin presque...

Oubliez ce passage ! Je le supprime !

Les années passèrent, Maïwen grandie aux côté de Nolwenn et Mao dans la grande bâtisse qui surplombait le prés derrière les écuries. Bien vite elle affirma un caractère très indépendant et téméraire. toute petite elle partait seule voir les chevaux sauvages, mais on la rattrapait bien vite de peur que ces derniers ne l’écrase. Mao lassé de la surveiller toutes les secondes entreprit alors de lui apprendre à monter, et à 6 ans elle montait aussi bien que lui. « Cette fille est née sur un cheval » avait dit Corentin. A 8 ans elle partait faire le tour des terres toute seule, la même année elle assista à la naissance d’un poulain dont la mère mourut aussitôt, elle le prit immédiatement sous sa protection et le nomma Néolen, ils ne se quittèrent plus. A 10 ans alors que les autres enfants de son âge jouaient à construire des cabanes dans la forêt, elle passait la journée sur Néolen, déjà on la voyait de moins en moins souvent. Ainsi se suivaient les années et leurs rituels quotidien. Maïwen grandissait dans cet univers idyllique, et sa passion pour les chevaux grandissait chaque jour d’avantage. Hélas, la vie est semblable à un océan, tantôt il apparaît calme mais il ne faut pas s’y fier. Un océan qui reste paisible trop longtemps est mauvais signe, il se réveillera alors quand personne ne s’y attendra, grondant et imposant, la tempête sera terrible avant qu’il ne redevienne calme et ce ne sera qu’une question de temps avant le prochain orage. Mais pour l’instant au petit village les gens avaient d’autres soucis. Mao en tant que « chef » du village, avait organisé une réunion à laquelle tous les habitants devrait répondre. Une décision importante allait devoir être prise.

Donc voilà on reprend à "Qu'il en soit ainsi"

Coincé dans les embouteillages Mr Morel pesta et klaxonna rageusement.
- Oh mais arrêtes donc, ça ne va pas nous faire avancer.
- 40 minutes, 40 minutes qu'on se traîne dans ce bouchon, et tout ça pour aller où ? Dans un village paumé au milieu de la campagne.
- Tu avais promis de m'y emmener pour mon anniversaire, murmura Mme Morel en regardant par la fenêtre de la voiture.
- J'ai fais une erreur ça arrive à tout le monde.
- Attends au moins de voir...
- Mais pourquoi veut tu aller faire du cheval là-bas, nous sommes déjà inscrits au centre des saules.
- C'est juste pour une fois, il parait que les paysages y sont magnifiques, on ne peut pas en dire autant de cette ville.
- Mais enfin, qu'attends tu d'une ville ? Une ville ce n'est pas fait pour être jolie. Et puis si tu veux de la nature on aurais tout aussi bien pu aller au parc Chirac, il y a de très bon restaurants qui servent des écureils à la moutarde parait-il.
- Oui bien sûr tu ne penses qu'a ton ventre comme d'habitude, mais pour une fois c'est à moi de me faire plaisr et tu pourrais au moins faire semblant d'être content.
- Mais je le suis, oh oui je suis très heureux d'aller faire du cheval chez les fous !
- Surveille ton langage, Leur élevage est très réputé !
Mr Morel grommela quelque chose d'incompréhensible puis entra sur l'autoroute, là il roula à vive allure, les mains crispés sur le volant de cuir.
- Bon et maintenant ça se trouve où ton trou perdu ?
- Eh bien au téléphone ils m'ont dit de suivre les bout de bois à droite après la sortie 15.
- Des fous je te dis, des fous !
Ils passèrent la sortie et tournèrent à droite. Là ils se retrouvèrent sur une petite route assez large pour laisser passer une voiture à la fois. Mr Morel s'arrêta, puis se tournant vers sa femme il dit :
- Alors, quels bout de bois suivons nous ? Ceux de l'arbre là-bas ou bien ceux qui traînent dans le fossé ?
- Tu n'es pas drôle du tout, il doit bien y avoir un panneau un peu plus loin.
La voiture redémarra, et effectivement il y avait un panneau.
- Tu parles d'un panneau s'exclama Mr Morel, c'est une pancarte en bois, ils se sont trompés d'époques ma parole, on est plus au moyen âge !
Mr Morel pesta durant tout le reste du voyage. Plus ils se rapprochaient plus la route prenait des allures de chemin de terre pour au bout du compte en devenir un. Alors Mr Morel lança de injures aux nids de poules qui abîmaient ses pneus tout neufs. Il finirent néanmoins par arriver sur ce qui semblait être un parking mais qui avait des allures de clairière. Devant eux se dressait une bâtisse de pierres dont les volets étaient bleus pâles étaient ouvert. Sur la gauche de la maison il y avaient une écuries qui abritait quatre box dont deux étaient occupés par des chevaux au pelage brun. Les deux autres étaient vides. Trois carrioles étaient rangés à côté, elles étaient en bois sauf une qui était plus luxueuse, cette dernière avait un toit des cousins rouges remplaçaient les durs bancs de bois. Sur ses portes était gravé un triskel et par dessus un cheval galopant.
Les morels sortirent de voiture, une cloche sonna au loin sept coups. Le soleil se levait doucement, inondant de lumière le paysage.
-Non mais regarde moi ça, ma voiture est toute sale, la carrosserie est couverte de terre...
-Tais toi donc on entends que toi.
-Forcément puisque qu'il n'y a que nous, ils nous demandent de venir tôt et il ne sont pas à l'heure. Personne pour nous accueillir, mais peut-être n'ont il pas l'heure ?
Prés des écuries un petit chemin s'élevait sur une bute et disparaissait derrière. Devant un petit dolmen était posé et dessus était gravé "ar c'heriadenn vian".
- Sans doute du patois, dit Mr Morel.
Alors qu’il finissait ses mots, un bruit de fit entendre, la tête d’un cheval apparut soudain en haut de la bute, suivit d’une carriole en haut de laquelle un homme était juché. L’animal allait au grand trot et il stoppa net au niveau des Morel.
-Vous êtes le couple qui vient monter je suppose ?
-Oui nous sommes les Morel.
-Le nom n’a pas d’importance, dit l’homme en sautant à terre. Bien nous allons y aller, veuillez prendre place à l’arrière.
Mr Morel jeta un coup d’œil au véhicule. Il n’y avait pour s’asseoir que de simple banc de bois peu confortable.
-Vous ne pensez quand même pas que je vais m’asseoir là-dessus ?
-Et où allez vous vous s’asseoir dans ce cas ?
-Pourquoi ne pas prendre la petite carriole là-bas, celle qui a un toit ?
-Elle est réservé au temps de froids et c’est une belle journée qui s’annonce. Oui un bel été indien.
Mr Morel finit par prendre place dans la carriole, Mme Morel quant à elle s’extasiait !
-C’est tellement pittoresque.
L’homme soupira, claqua la langue et le cheval pris le petit trot en remontant le chemin d’où ils étaient arrivés. Quand ils furent en haut de la colline un paysage à couper le souffle s’offrait à eux. Une plaine d’herbe rase et de bruyères s’étendait à perte de vue. Quelques rochers pointus s’élevait par endroit et des mouettes rieuses se posaient dessus pour observer l’attelage qui descendait le chemin serpentant.
Comme à son habitude Mr Morel n’en finissait pas de râler. A ses dire, la carriole était pleine de poussière et le chemin pleins de bosses et de trous le faisait sauter sur son siège.
-Combien de temps faut-il pour arriver au village ? Cria t-il
-Il nous reste un peu moins d’une heure. Dit l’homme sans se retourner.
-Une heure ! Et vous ne connaissez pas la voiture ici ?
-Une voiture dites vous ? Mais sachez que vous êtes en ce moment même dans une voiture monsieur. Dit l’homme ricanant.
Mr Morel s’apprêtait à répondre quand sa femme s’exclama soudain :
-Oh regarde trésor, la mer !
En effet la mer était apparus sous leurs yeux, le chemin avait pris la direction des falaises et le vide s’étendait prés des roues de la carriole. La falaise dressait somptueuse et les vagues d’écumes venaient mourir avec fracas sur les rochers menaçants.
-Eh bien quoi, tu n’a jamais vu la mer ?
-Il est vrai qu’au milieu des grattes ciels j’oublie combien elle est belle, répondit-elle sèchement.
-Ce n’est que la mer, il n’y a rien d’extraordinaire à cela, répondit Mr Morel en haussant les épaules.
-Vous ne devriez pas dire ça vous aller l’offenser, s’écria soudain l’homme.
-Non mais dis donc vous, s’il me plait d’offenser ma femme je …
-Je parlais de la mer.
Mr Morel ouvrit grand la bouche sans prononcer un mots puis il finit par crier tout haut.
-Des fous, je t’avais dit, c’est des fous ici.
L’homme ne répondit rien mais il prononça d’une voie claire :
-Buanoc’h Anog !
Le Cheval allongea ses foulées et partit au petit galop. Les Morel furent secoués dans tous les sens,et ils s’agripèrent comme ils purent.
-Eh vous ! J’espère que vous savez ce que vous faites, une simple erreur de votre part et nous allon nous écraser sur les rochers ici bas.
L’homme ne répondit pas. La carriole descendit le chemin à vive allure et s’éloigna peu à peu du bord de la falaise. Maintenant Le terrain était plat et Anog partit au grand galop. L’homme le laissa faire, en réalité il s’amusait de voir les Morel aussi terrifiées. L’attelage continua ainsi sa course folle à travers la plaine, ils croisèrent de nombreux troupeaux de chevaux, quelque uns les suivirent sur quelques centaines de mètres. Enfin quand les premiers toits du village apparurent, l’homme remit Anog au petit trot.

Je suis pas contente de ce passage, pas trés bien écrit, nombreuses phautes d'orthographe, je vais essayer d'aranger ça ! Par contre je suis contente d'avoir pu glisser quelque mots de breton, saurez vous devinez ce que ça veut dire ?

Tiens je me demandais, si je mets mes textes sur internet n'y a t'il pas des risques qu'on me les volent ?

Je pense que je vais arréter de poster tout mes textes ici, du moins ceux de l'erod, néanmoins je continuerais de venir sur ce chouette forum pour demander conseil et voir un peu ce que les autres font.

Si il y en a qui veulent lire des passages de l'erod pour dire ce qu'ils en pensent je leurs envoyerais par mp.

En ce moment je fais tellement de modifs que ça ne servirait à rien de les poster sur le forum, ce soir je vais refaire tout le passage que j'ai posté derniérement.

Sur ce bonne soirée et à bientôt !