salut
c'est la premiere fois que j'ecris
donc voilà je vais le mettre, soyez indulgent svp pour les erreurs, merci ^^
et surtout donnez moi des conseils pour m'ameliorer au maximum
et puis aussi, je suis en guerre contre la conjugaison
je pense que je pourrais appeller sa un petit prologue
merci
Ce jour là, le soleil ne se leva pas, le temps était sombre et il y faisait très froid, même de trop pour un mois d’hiver. En-dehors de chez moi, tout était blanc, gelé. Un endroit triste où rien ne présenté le moindre signe de vie. Je sortis, en veillant à bien fermer la porte derrière moi pour ne pas laisser le froid y entrait. Bien emmitouflé dans un gros manteau de laine, je sentis tout de même le froid me glacer les os. Je contournai la maison, en entendant la neige craquer sous mes pas, et entrai dans la grange, pour voir comment se porter mon cheval. La veille, je l’avais enlevé de l’écurie pour le protéger du gèle et l’avait mis dans la grange, pensant qu’il y ferait plus chaud et en essayant au moins de le sauvegarder un maximum du froid.
J’ouvris la porte, et regardai, il n’avait pas tenu la nuit. Il était couché sur le flanc gauche, couvert d’une couche de givre lui donnant l’air d’un fantôme. Je n’y voyais rien à part la lumière du jour qui passait à travers le contour de la porte, je pris une lanterne suspendu à un crochet, je dû la serrait trop fortement car elle se brisa, je soupirai laissant apparaître un nuage de buée devant mes lèvres, j’avais vécu tant d’événement avec cet animal, le voir là me faisait mal au cœur, les larmes coulérent. Etre obligé de finir mes jours au fin fond de ces bois était devenu trop dur pour moi, vingt années que je restai ici à me languir de ces journées magnifique et quelques fois difficiles en compagnie de ceux qui étaient devenus pour moi des proches. Maintenant j’étais seul et le resterai à jamais, pour ma survie et de celle qui fut ma bien aimée.
J’essuyais les larmes qui commencer à geler sur mes joues et regardai une dernière fois mon cheval, je fis demi-tour en refermant la grande porte derrière moi. J’ouvris la porte la porte de la maison, enfin si on pouvait appelle cela une maison, me défit de mon manteau, de mes gants et de mes bottes et allai m’agenouiller devant l’âtre de la cheminée là où brûlait un feu dense et je souris en sentant sa chaleur me caresser le visage et sur tout l’ensemble de mon corps.
Je savais très bien que j’allais périr dans cet endroit sinistre, je n’avais plus envie de vivre, j’avais perdu l’espoir.
Sachant que je n’avais plus rien à perdre, je partis m’installer à mon bureau, pris du parchemin, trempai ma plume dans l’encre et commençai à écrire l’histoire de ma vie.