ET POURTANT ILS
ETAIENT LA
Chapitre 1
Premier contact
Quelque part en France, en cette année 2043, le monde parlais plus librement sur divers sujets que dans les années 1950 ou les années 1960. L’argent, le sexe ou la religion, ont en parlais plus librement. Pourtant, ils y a des sujets qui sont parfois discutions a polémique.
Alors que les lumières de la ville n’étaient pas éteintes, que le matin se lever, Les lampadaire, des campagnes eux étaient encore allumés. Ont se trouvaient en fin de printemps début d’automnes, les arbres avaient revêtis leurs robe d’un brun jaune or, la température n’était pas très froides encore. Cela promettait un belle été indien.
David et Mathilde habitaient dans une modeste maison, dans un village ou il habitait quelque sept cent âmes, des cultivateurs, des éleveurs et des gens qui y habitaient juste pour le week end.
Le village était composé d’une boulangerie, d’une boucherie, de son église ou on y célébré la messe un dimanche sur deux, une banque, un poste, un petit bar qui faisait aussi office de librairie papeterie. Tous le monde se connaissaient, tous le monde se parlais, les ragots de village courrait sur les uns ou les autres. En bref, un village comme il en existe en France.
David était ingénieur en agronomie, il ne croyait pas a grand choses, car pour lui, croire c’était pouvoir voire. Mathilde était plus ouverte au choses, elle était bibliothécaire, elle s’intéressait a toutes genre de choses, de plus simples aux plus bizarre !!!
David était du genre cool, pantalon jean’s, chemise un peu déco, baskets et parfois il était un peu fantaisiste. Mathilde était plutôt du genre moderne et chics, toujours en robe, jolie tailleur, petite chaussure de ville un peu style mocassin, coiffée avec ses cheveux semi attaché. Lui, il mesuré dans les 1 m 75, elle plutôt 1 m 70. Lui il avait les yeux bleu, mince mais avec des épaules carré. Elle, plutôt fine.
Un soir que Mathilde était toute seule, regardant un documentaire, une étrange intuition que certains choses se passait dans son dos, car elle avait une sensibilité pour percevoir certaines choses. Mathilde avait l’habitude de dire
– « Sa, c’est l’intuition féminine »
Elle avait la sensation que quelque chose se passait dés qu ‘elle se retournée. C’était comme si les choses bougeaient, qu’une personne se trouvé derrière elle, et, dés qu’elle regardé derrière elle, plus rien. Bien sur, il y avait Néron, le chat de la maison. Au début elle pensait que c’était lui, car il avait l’habitude de rentré sans faire de bruit. Mais, là non, il était en train de dormir sur le fauteuil, paisiblement, il y avait juste les oreilles qui remué de temps en temps. David n’était pas encore rentré, alors que la nuit commençait a tombé, elle décida d’allumé une lampe afin de ne pas être dans la peine ombre du début de la nuit. Non, il n’y avait pas un bruit, personne n’était présent, elle était seul. Alors pour trompé les sensations qu’elle avait, elle sortie dans le petit jardin, regardent les étoiles brilles, sentir la brise du vent passer dans ses cheveux. Au loin ont entendais le bruit de quelques voitures qui passaient de temps en temps, les aboiement de chien, le vent jouent dans la cimes des arbres, faisant volé quelques feuilles, le craquement des branches. Elle se sentait bien, là, dans le moment.
Les lumière du jardin s’ allumèrent. Mathilde sursauta, car elle n’avait pas oublier cette impression qu’elle avait ressentie dans le salon, alors qu’elle regardé la télévision. Avait elle rêvé, s’avait elle fait un film ?
Non, Mathilde était trop terre a terre pour rester sur des sensations qu’elle ne comprenais pas, trop terre a terre pour croire a des choses qui n’existe pas. Elle préféra les oubliés, puis rentrée chez elle, se délacer dans un bon bain, puis elle préparera un bon repas, avec des chandelles en guise d’éclairage. Elle se mettra dans une tenu décontracter, juste pour faire plaisir a David. Elle fit se qu ‘elle avait décidé, se prit un bain relaxant, puis se mis a préparé le repas du soir. Pendant qu’elle préparé le repas, les sensations qu’elle avait sentie revint. Elle n’aimé pas cela, car c’était la première fois qu’elle les ressentais. Elle pensait que sa tête lui jouait des tours, que c’était son imagination. Soudain un bruit se fit entendre. Là, elle avait bien entendu qu’elle que chose. Elle se dirigea vers la porte d’entré, et vit David qui essayait d’ouvrir la porte avec ses clefs. Elle avait tellement pensait a se qu’elle avait ressentie, ses drôle de sensations, qu’elle avait oublier d’enlève ses clefs de la serrure de la porte. Elle se dépêcha d’ouvrir la porte.
Quand David ouvrit la porte, elle se précipita dans ses bras. David étonner l’interrogea.
– " Que t'arrive t-il ?
Mathilde resta un petit moment contre lui sens rien dire. Lorsque David insista, elle répondit :
– " Toute la journée j'ai eu de drôle de sensations, je me demandais si cela venait de moi ou est ce que cela était vrai.
Pour la rassuré, David la serra plus fort contre lui.
–" Bon, maintenant que je suis là, cela va allez. Surtout que tu a préparé quelque chose !
Effectivement elle avait préparé un repas pour lui faire plaisir. Une fois qu’ils étaient a table, elle reprit la conversation sur le sujet. David écouta attentivement le récit de ce qu’elle avait ressentie, le froid dans le dos, le sensation d’être observer, que les choses bouger dans quand elle était retournée, le malaise d’être parfois oppressé par quelqu’un qu’elle ne pouvait pas percevoir. David resta dubitatif, mais pour faire voire qu’il comprenais Mathilde, il lui dit :
– " Je pense que tu doit avoir besoin de sortir, après le dîner, je t'emmènerai boire un coup pour te détendre, puis nous irons voire un film au cinéma. Je pense que cela te fera du bien, car entre ton travaille a la bibliothèque ou que tu ne sort pas et la maison ou il y a toujours quelque chose a faire, cela te fera du bien "
Mathilde accepta. Ils finirent leurs repas, puis comme David avez prévu, il sortirent. La nuit était déjà bien avancé, quand ils rentrèrent. Ils allèrent se coucher, car la soirée avez étés bonne et décontractent.
Pendant sont sommeil Mathilde eue des visions, elle fit d'étrange rêves qu'il lui fit peur. Des visages apparurent, des bruits, des lieux, des noms circulaient dans sa tête. Elle bougeais dans tous les sens, tremblent parfois ou hurlant de crispations. David avez dû la réveillée en la secouant par les épaules, afin qu'elle puisent reprendre ses esprits. Mathilde reprise ses esprits soudainement, elle se colla contre David, comme si elle voulais se protégé de quelque chose, de quelqu'un, tremblante comme une feuille que le vent pousser pour qu'elle tombe de sa branche. David la réconforta, l'enlacent dans ses bras, lui frottant le dos comme on ferrais pour un petit enfant. David senti toute la peur qu'il y avait encore en elle. Ils se recouchèrent l'un contre l'autre.
Voici le début de mon histoire.