Dis donc c'est un peu court ! Ne me dis pas que le travail t'a rattrapé !
Ben ici les décos de Noel c'est plutôt sous le soleil et en période de sécheresse. Aujourd'hui premier jour de la saison cyclonique. Ariel vient de naître '(première tempete tropicale)...
allez hop béta lecture :
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Il est de retour, toujours aussi glacial, aussi pénétrant. Faisant sortir de leurs placards mouchoirs en papier et gros manteau, personne n’échappe au froid hivernal qui s’installe.
Ici le faisant, selon moi attend que le sujet de la phrase réponde au pprésent. J'aurais mis : Faisant.... personne ne lui échappe, lui, le froid hivernal ou inverser la phrase et ajouter un "qui fait"... bref, un truc du style.Les cheveux se cachent sous un bonnet de laine, les mains s’engouffrent avec plaisir dans une paire de gants multicolores, les cols se relèvent. Seuls les joues et le nez restent soumis à la piqûre vive et rougissent face au vent.
Son arrivée s’accompagne du retour des décorations de noël, les villes s’illuminent et rivalisent d’originalité tandis que la foule se presse dans les magasins, farfouillant à la recherche du cadeau original qui plaira à coup sur, tandis que les doigts de pieds se réchauffent en parcourant les rayons.
Enfin, le premier flocon se décide à
dévaler Je ne sais pas si on peut parler de dévaler ici le ciel, voltigeant entre les voitures pour se poser fugitivement sur la route. Il se métamorphose aussitôt en une minuscule goutte d’eau, mais une multitude de points blancs viennent le rejoindre, s’amassant sur les arbres et
le toit les toits plutôt des immeubles alentours.
Le ciel grisâtre se décharge abondamment sous le regard émerveillé des enfants et
un petit "celui plus agacé", non ? agacé des automobilistes.
Emmitouflés dans ses bouts de laine, chacun poursuit sa
pettte vie, s’accomodant de cette période de mélancolie et de réjouissance. Personne ne se soucie de ce pauvre homme, recroquevillé sous des cartons, à une rue de là.
Un peu dure là. Son mince imperméable ne suffit plus à combattre le froid mordant. Voilà deux heures qu’il est là, trop faible pour se relever, trop gelé ou trop fier pour interpeller un passant et lui demander de l’aide. Sans plus d’espoir, il lâche prise et se laisse aller au sommeil. Il sait déjà que demain il ne se réveillera pas. Sans regret,
son âme s’échappe En si peu de temps ! Peu probable... de cette enveloppe corporelle désormais inutile, et s’envole vers un monde meilleur. A deux pas, une dame énorme en long manteau de fourrure blanc s’indigne devant le refus de son mari de céder à son dernier caprice : une énorme bague à 47 000 € de chez Cartier.
Bon un peu cliché pour le moment, même si ce que tu dis a un fond de vérité. J'ose espérer que la Société est plus humaine, vers Noel du moins... *soupirs*
On attend la suite pour juger...
Sujet: Soir de décembre 
