Compte à rebours

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(au fait je lis ton chapitre ce soir Jade)

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(d'accord ^^)

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Sinon comment allez-vous vous tous?
Avant on se parlait par le biais du chat, maintenant on est chacun dans son coin
Alors ben j'ai décidé une convesation par le biais d'une question plus que banale...

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Ben écoute tout roule !
C'est vrai que l'on a tous des horaires différents et qu'il ai difficile de se croiser sur le chat !

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L'internat est en état de siège, la pionne principale est de retour et découvre qu'à notre étage les toilettes sont repeintes avec du vomi, les poubelles sont pleines de bière et de préservatifs, parce que tous les jeudis soirs la sono secoue le bâtiment. On a déjà pris un savon, les jours à venir avant les vacances vont être difficiles et j'ai pas envie qu'ils se remettent à virer du monde...

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Wouah ! sympas l'internat ! Ben bon courage à toi et je suis d'accord avec toi : vivement les vacances !!!

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Apparemment on aura droit à des réunions ce soir au demain, avec des feuilles pour "exprimer des regrets et prendre des engagements". Je signerai pas. Je m'amuse beaucoup.

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Je viens de réaliser que je n'avais pas posté de message sur ce forum depuis le mois de septembre... Depuis la reprise des cours en fait. Ce n'est pas vraiment par manque de temps (je passe régulièrement lire vos messages) mais en ce moment je n'ai plus trop envie ni d'écrire ni de commenter des textes, même si ça reviendra sûrement. Enfin tout ça pour dire que ça ne devrait pas m'empêcher de passer faire un petit coucou et prendre de vos nouvelles de temps en temps, je vais essayer de me reprendre là-dessus

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Essaie de changer de genre. Je ne sais pas ce que tu écrivais avant, je crois que tu n'as jamais posté de texte ici, mais souvent ça redonne un nouvel élan de se remettre aux nouvelles, à la poésie, d'entamer un roman, un feuilleton ou n'importe quoi.

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L'Absence est un statut temporaire, isn't it ?

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On a tous des "périodes" pour écrire, a nous de faire en sorte qu'elles durent le plus longtemps possible!

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Non. Il y a des choses qui ne sont jamais là. Seulement, souvent, on ne remarque plus leur absence. Grâce au temps, sans doute. L'homme, un bipède ingrat et qui s'habitue à tout...

C'était la parenthèse philosophique du mois.

967

En tout cas, je suis ravie que ma question bateau nous permette de discuter à nouveau.
Quand Jade parle de changer de genre je vois tout à fait ce qu'elle veut dire. En ce moment (et parce que je trouve que mon roman ne vaut pas un centime), j'écris des petits contes et un espèce de recueil complètement loufoque où je donne la prole à un prof qui invente des théories sur le monde toutes plus impropbables les unes que les autres, et ça me fait rire (je posterai peut-être un texte ici une fois relu et arrangé...).

J'aime bien Jade la rebelle qui refuse de signer un "règlement". Tu crois qu'ils ne vont pas t'y obliger? On n'est plus libre de rien dans notre monde. La liberté, c'est un mot vide de sens pour moi.

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Jade a écrit:

Essaie de changer de genre. Je ne sais pas ce que tu écrivais avant, je crois que tu n'as jamais posté de texte ici, mais souvent ça redonne un nouvel élan de se remettre aux nouvelles, à la poésie, d'entamer un roman, un feuilleton ou n'importe quoi.

En fait j'ai un projet de roman sur lequel je bloque pas mal, et j'ai du mal à m'en détacher pour écrire autre chose...

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Ecris des nouvelles ou des histoires courtes, c'est plus facile et libérateur quand tu bloques sur quelque chose. laisse courir ta plume tu verras que tu y arriveras

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Il est parfois bon de laisser et de revenir ; après une autre expérience, on trouve souvent les ressources pour rebondir. Je ne sais pas si tu te rappelles de mon Protocole Himmler, et de ses aberrations. Une libération de l'écriture dont je profite aujourd'hui.

De quoi philosopher des heures, cette liberté. Si ça t'intéresse effectivement, on peut tenter diverses démonstrations, comme comment la causalité transcende la liberté pour la réduire au conditionnement opérant de Skinner ou comment la liberté est responsable du malheur des hommes et comment s'y prendre pour la détruire. Quoi qu'il en soit, il suffit de rester calme et ferme, de se réciter quelques vers obscurs de Mallarmé et de sourire niaisement. Ainsi la vie passe vite et je n'ai rien signé.

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