Rehcerche pouvoir

Bonjour?,
Tout d'abord j'aimerai vous demender qu'elle pouvoir pourait avoir mon personnage principal.
Il faut savoir que son pouvoir lui vient d'un incendit d'ou elle est la rescapé.

Voila merci de répondre

Mon histoire serait l'histoire d'une fille qui va resevoir des pouvoir magiques dans le but de préséver le monde magique contre une société qui veut diriger cette univers et le rendre mauvais. Cependant en plus de sa mission elle devra survivre à son quotidien de jeune lycéenne et ne rien révéler a son entourage pour le préséver. Néanmoins un nouvelle éléve va compliquer sa tache. Elle va s'amouracher de ce dernier. Mais ce jeune garcon est enfaite le fils du chef de la société malfaissant et connait toute la combine. Pourtant ce ne va pas exactement se passer comme ille voudrais car lui aussi va s'éprendre de la jeune héroine.

Je voudrais savoir si ça fait pas trop cliché...

Plus cliché tu meurs. Mais Roméo et Juliette c'était aussi un pur cliché. Là tu fais dans la même veine, les deux rejetons de deux groupes rivaux qui s'amourachent l'un de l'autre au grand dam de tout le monde. Le tout c'est de bien présenter l'affaire et d'avoir un style coulant. Je ne pense pas qu'il faille se détacher d'une idée juste parce qu'elle fait cliché. Pour résumer mon avis : fonce !

La magie c'est vague, tu peux essayé les quatre éléments (eau/terre/feu/vent)

a oui pas mal l'idée des quatre éléments
les gentils se seraient l'eau
les méchants le feu
et les neutres l'air et la terre
merci beaucoup

Bon voila le début de mon prlogue j'attend de vos nouvelles

Dans la vie de tous les jours on ne se demande jamais comment on va mourir. Pourtant cette dernière nous poursuit à chaque seconde de notre existence. Par exemple personne ne se dit en traversant la route qu'il a des chance de périr. Moi j'étais comme tous ces gens. Insouciante et naïve.
Ma matinée avait commencé normalement. Cependant je me dirigeais vers la cantine afin d'apaiser ma faim. Au moment où je franchis le seuil une sonnerie retentis. Elle me paraissait familière toute en m'étant insupportable. Pendant les minutes qui suivirent un mouvement de panique envahit chaque être présent dans la pièce. Tous le monde se mit à me bousculer et à me hurler dans les oreilles. Je rester là, immobile telle une statue de pierre. Même mes longs cheveux ondulés ne bouger plus. Ma bouche était ouverte et essayait de sortir un son. C'est à se moment précis que je me rendit compte que je demeurais seule dans la cafétéria. Tout d'abord ma première réflexions fut que ce ne pouvait être qu'un test ou qu'alors un élève dépourvus de sens avait appuyait sur le bouton rouge destiné à déclencher l'alarme arrêt d'urgence. Sauf que ma pensée fut contredit lorsque j'aperçus au loin de la fumée grise. Puis ma vue ne tardât pas à devenir trouble. Néanmoins la chaleur qui se reflétait sur mon corps me permit de comprendre que les flammes ne se trouvaient plus très loin. Ensuite un bruit métallique résonna dans le réfectoire se qui m'annonça que le bâtiment s'effondrait peut à peut. Après un instant de répit je ta tonna mes alentours. Heureusement pour moi; il n'y avait pas encore d'encombres. J'espérais subsister néanmoins cela s'avérera peut probable. Toute fois dans un élan d'espoir s'essaya de m'avancer vers une possible issu. Pourtant malgré toute ma bonne volonté cette instant fut bref, étant donné que mes pieds s' enmélère entre eux. Ma maladresse habituel m'avait forcé à me retrouvé plaqué au sol. Je me releva d'un brusque mouvement. Mes jambes paraissaient tenir le choc. Par contre l'une de mes cheville commençait son gonflement.

ploukettte a écrit:

Noir = syntaxe
Vert = accord
Rouge = Temps
Indigo = autre



Dans la vie de tous les jours on ne se demande jamais comment on va mourir. Pourtant cette dernière(cette formulation est maladroite, parce qu'il manque l'objet, bien qu'implicite ("la mort") nous poursuit à chaque seconde de notre existence. Par exemple personne ne se dit en traversant la route qu'il a des chance de périr. Moi j'étais comme tous ces gens. Insouciante et naïve.
Ma matinée avait commencé normalement. Cependant (maladroit : Alors que, ou quelque chose du genre, aurait peut être mieux été) je me dirigeais vers la cantine afin d'apaiser ma faim. Au moment où je franchis le seuil une sonnerie retentis.(il y a là une question de précession des actions... mais j'suis pas douée) Elle me paraissait familière toute en m'étant insupportable. Pendant les minutes qui suivirent un mouvement de panique envahit chaque être présent dans la pièce. Tous le monde se mit à me bousculer et à me hurler dans les oreilles. Je resterlà, immobile telle une statue de pierre. Même mes longs cheveux ondulés ne bouger(description = imparfait) plus. Ma bouche était ouverte et essayait de sortir un son(maladroit). C'est à se moment précis que je me rendit compte que je demeurais seule dans la cafétéria. Tout d'abord ma première réflexions fut que ce ne pouvait être qu'un test ou qu'alors un élève dépourvus de sens avait appuyait sur le bouton rouge destiné à déclencher l'alarme arrêt d'urgence.(c'est pas l'alarme incendie ?) Sauf que ma pensée fut contredit lorsque j'aperçus au loin de la fumée grise. Puis ma vue ne tardât pas à devenir trouble. Néanmoins la chaleur qui se reflétait (?) sur mon corps me permit de comprendre que les flammes ne se trouvaient plus très loin. Ensuite un bruit métallique résonna dans le réfectoire se qui m'annonça que le bâtiment s'effondrait peut à peut (peu à peu). Après un instant de répit je ta tonna (en un mot) mes alentours. Heureusement pour moi; il n'y avait pas encore d'encombres (on a peut être pas la même définition pour encombres ^^). J'espérais subsister néanmoins cela s'avérera(maladroit puisqu'elle survit à la fin) peut probable. Toute fois (en un mot) dans un élan d'espoir s'essaya de m'avancer vers une possible issu. Pourtant malgré toute ma bonne volonté cette instant fut bref, étant donné que mes pieds s' enmélère entre eux. Ma maladresse habituel m'avait forcé à me retrouvé plaqué au sol. (accord + syntaxe)Je me releva d'un brusque mouvement.(il me semble que c'est "ai" la bonne terminaison pour ce temps) Mes jambes paraissaient tenir le choc. Par contre l'une de mes cheville commençait son gonflement.

Mis à part quelques maladresses et un petit gout de "déjà-vu" sorti de je-ne-sais-où... c'est un début plutôt prometteur : prend ton temps pour écrire, ça te permettra d'éviter les petites fautes d'étourderie (oubli de conjuguer les verbes, oubli d'accorder les participes passés)...
Le reste se travaille, me semble-t-il... J'ai hâte de savoir comment tu vas mener cette histoire.

merci à toi Aryanne pour tes conseils.
Je vais faire des effort

C'est assez dur de juger pour le moment, surtout sur le fond.

Sur la forme, en plus de ce qui a été dit, j'ajouterai qu'il reste beaucoup de fautes d'orthographe et de conjugaison (il faudra t'habituer à la 1ère personne du passé simple : ai (1er groupe), is (deuxième groupe) etc etc). Des erreurs de ponctuation également (il sert à quoi ce ";" après "Heureusement pour moi" ?).
En outre, les liaisons sont assez malheureuses: Puis... Ensuite... Cela ne facilite pas la lecture.
Enfin, s'agit-il vraiment d'un prologue et est-il terminé ?

En ce qui concerne les pouvoirs magiques, si les gentils possèdent les pouvoirs élémentaires de l'eau, je suppose que ton héroïne sera "une méchante". En effet, tu dis que son pouvoir lui vient d'un incendie. Certes, on peut toujours imaginer que la peur de mourir a révélé un pouvoir aqueux. Cependant, il semble plus logique que la manipulation du feu soit mise au jour dans une situation extrême comme celle-là... au contact du feu... Mais bon, ce point est discutable (cf mon argument -évoquant la protection - deux lignes plus haut).

Sinon, bon courage pour la suite )

En attendant de te lire !